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les rumeursϟ Il paraîtrait que l'énorme bruit de la nuit dernière venait de l'hôpital ; Une machine aurait explosé dû à un dysfonctionnement et on y compterait deux victimes, médecin et patient. Si même à l'hôpital nous sommes en danger...

ϟ Perrault et Watson sont très souvent vus l'un en compagnie de l'autre, se tenant la main et rigolant ensemble. La rumeur court en ville qu'ils seraient en couple, bien que les deux démentent.

ϟ Une source proche d'Odin aurait affirmé que celui-ci aurait fumé des cèpes dans le but d'être shooté. Quelqu'un ne voudrait pas lui apprendre comment faire une fricassée aux champignons plutôt que de laisser pourrir son stock ?

ϟ Alice aurait pour projet de lancer un Sex shop portant le nom de "Rabbit Hole" et dont la source d'inspiration pour les produits vendus et l'égérie serait, naturellement, le réceptionniste bien connu de l'hôtel Abysse. Peut-être est-ce cela qu'il transporte dans ses caisses à travers la ville ?

ϟ Rimbaud aurait engagé un détective pour prendre des photos de Verlaine et les ajouter à sa collection personnelle. Il paraîtrait en effet que celui-ci a aménagé un véritable autel où il brûle de l'encens, invoquant on ne sait quelle divinité oubliée afin de ramener son amant dans son lit.

ϟ Un collègue de travail aurait surpris Smok qui écoutait du Miley Cyrus lors de l'une de ses gardes au poste. Il a bien insisté sur le fait qu'il s'agissait de la période Hannah Montana. On soupçonne donc qu'il possède des goodies en vue d'un futur tuning de Betty, sa moto...

ϟ Des papiers sont parvenus entre les mains de certains membres de la ville, des papiers qui révélent que Charles Dickens est un ancien acteur porno.

ϟ Il paraitrait qu'avant avoir rencontré Sherlock Holmes, John Watson était proctolgue. Cela expliquerait sa profonde connaissance en anatomie anale...

ϟ Claude Debussy ferait du racollage pour ouvrir un Host Club à Pandore ! Le compositeur a vraiment l'air d'aimer les jeunes hommes en jupette.



 
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 Le Rossignol : la vie c'est plus marrant en chantant

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Thug Life
Thug Life
Messages : 240
Date d'inscription : 18/06/2015
MessageSujet: Le Rossignol : la vie c'est plus marrant en chantant    Le Rossignol : la vie c'est plus marrant en chantant  EmptyJeu 18 Juin - 15:22



   

   

   
Le Rossignol

   
Je me nomme Le Rossignol mais on m'appelle plus généralement Nattergalen. J'ai été créé en 1853 et il semblerait que je fasse parti des Créations. Je suis la création de Le Rossignol de L'Empereur de Hans Andersen. Je suis apparu à Pandore   depuis  7 ans et j'exerce désormais la profession de serveur au salon de thé. Cela me permet de vivre moyennement. Pour me représenter, j'ai choisi avatar de les oeuvres de 253421..


   Caractère et physique • This is how I am
   
On dit de moi que je suis • Enfantin ϟ Faut le dire, j'ai une attention qui peut très vite se disperser, je m'enthousiasme pour rien, je m’émerveille de tout. On dit souvent que j'ai gardé une certaine fraîcheur, innocence comme tu veux mais c'est l'idée. ϟ  Troubles de l'attention ϟ Alors, je ne suis pas susceptible en temps normal, mais si on ne m'accorde pas d'attention, je peux vite me vexer et chercher à partir. Je n'aime pas rester trop longtemps sans rien faire immobile, alors si je ne t'intéresse pas, je m'en vais.ϟ Doux ϟ Je ne m'énerve jamais, je suis quelqu'un qui garde un certain sang froid et une certaine douceur. J'aime prendre soin des gens, leur offrir ce que j'ai de mieux. ϟ Le chant, c'est la vie ϟ Alors, je connais un éventail de chants des tristes, des plus joyeux. Etant blagueur, j'aime souvent les chansons qui apaisent ou amusent, oui je croque la vie à pleine... dents à présent.ϟ Et pour finir... si tu me vois faire la tête, c'est que ça tourne pas rond, car j'ai toujours un sourire de rechange. Et crois moi, j'en ai un stock.   


   Mais au premier abord je suis • Je suis un jeune garçon aux cheveux bruns courts souvent un peu éparpillés dans tous les sens mais vu leur longueur, ce n'est pas prêt de me gêner. J'ai un visage fin avec des yeux rieurs bleus. On me dit souvent que j'ai l'air de quelqu'un de tout à fait abordable et de compagnie agréable mais ça à toi de juger. J'adore les chemises et les cravates, parce que j'aime être bien habillé, un peu élégant quoi. Et tu me verras souvent avec des chaussures légères, je déteste porter des vêtements lourds ou même des choses lourdes, essaye seulement et je le refilerai au voisin ton paquet. Faut dire, je suis pas bien épais, je suis pas musclé, je suis pas vraiment souple non plus, je suis juste assez mince. Je ne suis pas spécialement grand, non ... j'ai gardé un peu de mon ancienne petite taille, tu croyais tomber sur un grand gaillard. Je fais un peu freluquet, c'est vrai mais je me rattrape sur mon côté adorable un peu angélique. J'ai des traits fins, une force inexistante ou presque mais une énergie débordante... et potentiellement je suis un ventre sur pattes.


   Histoire • Tout conte a un début et une fin
   
Quelle douceur de pouvoir voir le matin à son réveil ! Le soleil était si bon sur ses plumes, c'était si bon, si chaud. La vision du lac sous le soleil matinal était si belle qu'elle lui donnait envie de chanter, chanter jusqu'à ce qu'il n'ait plus de voix. Au milieu de toute cette campagne verdoyante, de cette forêt si mystérieuse, il y avait là ce que les voyageurs désignaient comme ce qu'il y avait de plus prodigieux dans l'empire. Certains avaient cru entendre son chant, d'autres s'étaient laissés entendre que son chant était ravissant. L'empereur de Chine rassemblait tout autour de lui ce qu'il y avait de plus somptueux, il s'étonna bien vite d'avoir vent d'une telle légende. Il fallait qu'il le possède par n'importe quel moyen, il le fallait. Ses serviteurs lui rétorquèrent que ce n'était qu'une légende, mais l'empereur demeura ferme. Il voulait cet oiseau pour combler le vide de tous ces couloirs imposants. Pendant ce temps-là, l'oiseau chantait pour une modeste fille de cuisinier qui venait lui apporter à manger. Bien sûr qu'il pouvait survivre sans elle, mais il aimait que l'on vienne à lui et qu'on lui rende hommage. Il se donnait pleinement à sa tâche avec beaucoup de joie et d'application en sautillant sur sa branche.

Après qu'il fut recherché à travers toute la campagne sans succès, cette fille finit par évoquer son secret. L'oiseau continuait de vivre simplement sa vie au jour le jour sans cesse en mouvement, sans cesse occupé par ses vols ou ses chants. Le rossignol n'avait pas à se plaindre, ce cadre était idéal pour son activité de prédilection bien qu'il aurait apprécié un public plus large. Parfois, il regardait les herbes du chemin forestier menant à son arbre en soupirant. L'oiseau guettait toujours l'approche de la jeune fille et de ses miettes de pains. La dernière fois, c'était de la brioche, que lui apporterait-elle en échange de sa prestation ? Il avait eu mille fois le temps de composer un nouveau morceau, tout aussi somptueux que le précédent. Ce chant allait l'éblouir, il il mettrait encore toute son âme juste pour elle. Un bruit de ferrailles se fit entendre, il leva la tête pour voir des hommes dans ces boîtes de conserve qu'ils nommaient armures. On lui dit de chanter, ce qu'il fit sans se faire prier. Les sons s’enchaînaient toujours avec le même ravissement de l'auditoire, cette fois plus nombreux. L'oiseau se sentait vraiment heureux et réussit par sa joie à leur décrocher des larmes d'émotion. Il fut ramené au palais, qu'il remplit de sons harmonieux tous plus innovants les uns que les autres. L'oiseau ne chantait jamais le même chant avec la même émotion, la même force ou la même énergie. Il y mettait du cœur le petit chanteur. Certains enfants de la région reçurent même le surnom de Rossignol pour l'honorer. Son public se faisait de plus en plus large, on voulait l'entendre de partout. Des ambassadeurs, de la famille royale, des invités de haute naissance, tout le monde venait l'écouter. L'oiseau avait pris goût à cette vie de fastes et jamais il ne retourna dans sa forêt si tranquille.

Un trouble allait bientôt arriver. Il était là tout proche. Il se présenta sous les traits d'un oiseau mécanique serti d'or, de joyaux, de rubis et de diamants. Lui si clinquant et toi de chair, tu te dis que rien ne pouvait te remplacer. Tu crus que tu pouvais continuer d'agir de la même façon, mais rien n'était plus comme avant. La joie du rossignol laissait place à une idée de devoir auprès de son Empereur . Il n'arrivait pas à chanter comme ce robot, ce tas de rouages qui chantait toujours de la même façon. Alors c'était cela qu'ils voulaient tous à présent, ils s'étaient lassés de lui aussi vite. L'oiseau ne savait même plus depuis combien de temps il était ici, lorsqu'il regardait dehors, il se voyait face à son lac. Son public s'était volatilisé et pourtant il voulait rester. L'oiseau voulait continuer d’intéresser les gens, il volait en disant presque «  regardez-moi, regardez-moi », mais l'oiseau brillant attirait les regards. Le rossignol devint plus espiègle, il tenta de redevenir celui que l'on regardait. Ses bêtises ne donnaient rien, les domestiques passaient derrière ou alors on l'oubliait aussi vite. Ne pouvant plus rien offrir ni ses chants ni sa bonne humeur, il choisit de partir tête basse après être encouragé plusieurs fois à quitter les lieux. Son départ ne fut remarqué que tardivement. L'attention restait focalisée sur cet oiseau de rouages, sur cet usurpateur. Oh, le rossignol n'était pas jaloux, il aurait juste voulu conservé son public .
L'oiseau avait un vol très incertain qui se finit dans un buisson de ronces. Les épines rentraient dans ses ailes, mais ce n'était rien. C'était la première fois qu'il avait reçu un si grand public, pour le voir chanter lui un rossignol perdu dans sa forêt. Perdu, il vit que personne ne venait plus l'écouter. Ils devaient tous le préférer lui, cet autre truffé de mécanique. Sautillant pour sortir du buisson, il ôta une épine de son aile, l'agita pour vérifier s'il pouvait l'utiliser et retourna là où il était : au sommet de son arbre. Plus rien n'était pareil toutefois, le succès lui manquait et même s'il continuait de chanter, ce n'était pas la même sensation. Au début, ce fut très difficile, mais il ne s'était pas vu évoqué cela à celui qui l'avait écouté. Le rossignol se souvenait encore des larmes qu'il avait versées la première fois qu'il l'avait écouté. L'oiseau continua de chanter, il aimait trop cette activité pour se laisser aller à une monotonie, ce n'était pas son style de rester passivement. En survolant les champs, il apprit que l'Empereur était mourant et par la même occasion que l'oiseau mécanique était tombé en panne. Il imagina le vieil homme souffrant dans son lit sans un autre bruit que le silence, cela lui fendit le cœur. Le rossignol s'envola pour le rejoindre en sifflotant en chemin et se mit aussitôt à la tâche dès qu'il fut à la fenêtre de l'Empereur en lui gazouillant un chant apaisant. Tout durant qu'il restait un souffle dans la poitrine de cet homme, il était resté à ses côtés comme des amis de longue date qui s'étaient retrouvés. Le vieil homme ne bougea plus... L'oiseau entonna un dernier chant comme le faisaient ses cousins les cygnes, mais il ne pouvait rester au milieu de toutes ces larmes, alors il s'envola par la fenêtre. Tout d'un coup, tout devint flou, tout était blanc... Clignant des yeux, il tenta de distinguer ce qui était en train de se passer quand il se sentit tomber sans que ses ailes ne le retiennent plus. La prairie s'effaça, les champs et tout ce qui l'entourait.

Quand j'ouvris les yeux, j'avais l'impression qu'un cheval m'avait écrasé. Mon dos, mes épaules tout me faisait souffrir, c'était pesant. Je sentais bien que mon corps était beaucoup plus lourd, c'était comme lorsque j'avais des courbatures à force de toujours courir partout. J'ouvris les yeux avec beaucoup de peine, mais cette vision fut réellement la pire de ma vie. Une main était devant moi.  Un humain s'était allongé tout près de moi sans doute, c'était peut-être lui le responsable de tout cela. J'allais me relever quand je vis le bras bouger... C'était le mien... Mes ailes... Mes belles ailes... Je me reculais presque aussitôt sans oser me lever du sol. Mon dos finit par cogner une poubelle laissant s'échapper une peau de banane qui me tomba juste sur le nez. J'aurais trouvé cela très drôle si cela était arrivé à l'Empereur... L'empereur... est mort... Mais moi aussi je suis mort, il est temps d'en savoir plus. Comme je me sentais maladroit, je prenais appui contre le mur et m'avançait dans la rue. Le temps de cette marche, je pris connaissance que oui j'avais des bras, des jambes, mais aussi que mon visage avait changé. J'étais humain. Tout cela me déstabilisait tellement que je me mis à siffloter pour me rassurer. Je n'étais pas anxieux, juste je cherchais à savoir ce qui avait changé entre … avant et maintenant.

Au fur et à mesure du temps, j'appris le lieu où je me trouvais, qui j'étais bien que le deuil de mes ailes me pesait toujours lourdement sur les épaules. Comme je ne voulais pas rester inactif, j'ai vite fait le tour de toutes les occupations possibles en ville jusqu'à être embauché en tant que serveur. Les premiers temps, c'était étrange mais je n'avais pas l'habitude d'être un humain, puis j'oubliais de plus en plus ma vie d'oiseau. Je savais que je ne volerai plus... mais j'avais apporté ma petite touche perso à mon service. C'était presque comme des ailes, je servais les clients en rollers. Honnêtement peu de gens pouvaient me distancer, je travaillais bien. J'entretenais des rapports spéciaux avec mes collègues entre mes chants et mes blagues que je tentais de renouveler, mais souvent c'était les mêmes.

Entre autres, je fis la connaissance d'un homme triste marquée par une profonde tristesse. Je l'avais direct remarqué, j'étais plutôt doué pour ce genre de choses. Faut dire que je cherchais toujours à attirer l'attention, alors je cherchais toujours le regard de tous ceux que je croisais et croyez moi dans un salon de thé, ça en fait parfois du monde. J'aimais être entouré, alors tout m'allait pour ainsi dire ainsi. Mais lui, il était passé non loin de la vitrine et ce regard vide je ne le connaissais que trop. Plusieurs fois, j'ai tenté de faire l'andouille sans avoir plus d'attention de sa part, alors comme il me rappelait l'empereur, je chantais pour lui dès que je passais près de sa fenêtre. Son sourire était ma plus belle récompense, faut croire que je m'étais pas rouillé.

Oh, par contre je n'ai pas beaucoup de mémoire hormis pour la musique où là je suis imbattable. J'ai du mal à retenir un prénom, un nom, un chiffre, faut dire que je ne suis pas quelqu'un de très concentré. J'aime bien passer d'un sujet à l'autre, d'une personne à l'autre si je ne connais pas. Il y a encore un homme dont je me rappelle bien … en fait il est toujours après moi, après ça ne me gêne pas, on ne va pas se mentir, j'en profite. Je profite beaucoup d'avoir son attention, même si c'est jouer avec le feu qu'importe. Cela me fait bien rire, au fond à présent j'aime la personne que je suis. Je suis Nattergalen dans ce monde, certains m'appellent par un diminutif ; ça ne me dérange pas tant que leurs regards sont vers moi. .Sept années à Pandore et toujours la pêche !


   

   
Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Sylphea. J'ai 27 ans et je rp depuis X5 ans. J'ai trouvé le forum par un membre et je trouve que suggestion éventuelle. J'aimerais rajouter que Autre chose ?


   © Halloween
   


   


   
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Le Rossignol : la vie c'est plus marrant en chantant

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