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les rumeursϟ Il paraîtrait que l'énorme bruit de la nuit dernière venait de l'hôpital ; Une machine aurait explosé dû à un dysfonctionnement et on y compterait deux victimes, médecin et patient. Si même à l'hôpital nous sommes en danger...

ϟ Perrault et Watson sont très souvent vus l'un en compagnie de l'autre, se tenant la main et rigolant ensemble. La rumeur court en ville qu'ils seraient en couple, bien que les deux démentent.

ϟ Une source proche d'Odin aurait affirmé que celui-ci aurait fumé des cèpes dans le but d'être shooté. Quelqu'un ne voudrait pas lui apprendre comment faire une fricassée aux champignons plutôt que de laisser pourrir son stock ?

ϟ Alice aurait pour projet de lancer un Sex shop portant le nom de "Rabbit Hole" et dont la source d'inspiration pour les produits vendus et l'égérie serait, naturellement, le réceptionniste bien connu de l'hôtel Abysse. Peut-être est-ce cela qu'il transporte dans ses caisses à travers la ville ?

ϟ Rimbaud aurait engagé un détective pour prendre des photos de Verlaine et les ajouter à sa collection personnelle. Il paraîtrait en effet que celui-ci a aménagé un véritable autel où il brûle de l'encens, invoquant on ne sait quelle divinité oubliée afin de ramener son amant dans son lit.

ϟ Un collègue de travail aurait surpris Smok qui écoutait du Miley Cyrus lors de l'une de ses gardes au poste. Il a bien insisté sur le fait qu'il s'agissait de la période Hannah Montana. On soupçonne donc qu'il possède des goodies en vue d'un futur tuning de Betty, sa moto...

ϟ Des papiers sont parvenus entre les mains de certains membres de la ville, des papiers qui révélent que Charles Dickens est un ancien acteur porno.

ϟ Il paraitrait qu'avant avoir rencontré Sherlock Holmes, John Watson était proctolgue. Cela expliquerait sa profonde connaissance en anatomie anale...

ϟ Claude Debussy ferait du racollage pour ouvrir un Host Club à Pandore ! Le compositeur a vraiment l'air d'aimer les jeunes hommes en jupette.



 
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 Le vilain petit canard – Le voilà redevenu cygne. Un cygne noir.

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Thug Life
Thug Life
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MessageSujet: Le vilain petit canard – Le voilà redevenu cygne. Un cygne noir.    Le vilain petit canard – Le voilà redevenu cygne. Un cygne noir.  EmptyJeu 18 Juin - 15:29



Den grimme ælling

Je me nomme Den grimme ælling mais on m'appelle plus généralement Den. J'ai été créé en 1842 et il semblerait que je fasse parti des Créations. Je suis la création de Le vilain petit canard, de Hans Christian Andersen. Je suis apparu à Pandore il y a presque 5 ans et j'exerce désormais la profession de tatoueur. Cela me permet de vivre moyennement. Pour me représenter, j'ai choisi Uta de Tokyo Ghoul.


Caractère et physique • This is how I am
Mais il n’était pas fier. Un bon cœur ne le devient jamais. • Hypersensible à la beauté et la laideur de l'âme. Il semble posséder une certaine « intuition » à ce sujet.ϟ Indifférent au physique. Vos yeux doux ne le charmeront pas plus que ne l’effraieront un moignon ou une difformité. ϟ Ne supporte pas de voir les autres rejetés pour une quelconque raison. Et gare à celui qui oserait le faire devant lui … ϟ D'une douceur sans égale. Autant dans ses gestes que dans sa voix. ϟ Très tactile. Les câlins, il adore ça. Il en a tant manqué qu’il ne cesse de frôler la peau de ses interlocuteurs, de poser une main amicale sur une épaule, et se sent toujours très mal lorsque l’autre n’apprécie guère. ϟ Nonchalant. ϟ Trop franc. Il est incapable de faire preuve d’hypocrisie. ϟ Bon confident. Car, pour les secrets, il sait très bien tenir sa langue. ϟ Fait des efforts avec les gens qu'il aime. ϟ Très protecteur. ϟ Un peu jaloux. ϟ Indifférent aux critiques à son égard. Il en a tant entendus qu’elles glissent désormais sur son plumage imaginaire. ϟ Mais peut devenir une vraie langue de vipère si on le cherche trop. Il aime frapper là où ça fait mal. ϟ Passionné de dessin ϟ Artiste dans l'âme. ϟ Préfère les animaux de basse-cour dans son assiette, plutôt que vivants.


Ce n’était plus un oiseau mal fait, d’un gris noir, vilain et dégoûtant, il était lui-même un cygne • Le cygne est magnifique. D’un blanc éblouissant, d’une grâce sans égale. Bien qu’il ne soit plus d’une blancheur éclatante – malgré son teint de porcelaine – et que ses ailes ne soient plus qu’encre dans son dos, Den n’en reste pas moins d’une beauté évidente. De la légèreté de son pas, de la douceur de sa peau de pêche, de la finesse de ses traits, de ses lèvres aguichantes, desquelles darde une langue pointue percée en son centre, de son cou délicatement orné d’un collier de runes, de sa fine musculature – dessinant de délicieuses lignes sur son ventre plat – de la douceur de ses paumes, desquelles s’étendent de long doigts fins – presque des doigts de pianiste – jusqu’à la cambrure indécente de sa chute de reins. Seule ombre au tableau, s’il en est une, des prunelles d’un rouge écarlate sur fond noir. Vestige – peut-être ? – du vilain petit canard qu’il était - sans qu'il ne voit en ses yeux, une quelconque difformité ou horreur.

Den se distingue du commun des mortels par son allure. Toujours nonchalant – mais non pas sans une certaine grâce – presque uniquement vêtu de noir, t-shirt blancs, veston sombre ou jeans, parfois cloutés, parfois non, composent sa garde-robe. De nombreux piercings et tatouages ornent son corps tout entier. Bracelets d’encre aux épaules, recouvrant ses bras, couronne sur la main, collier de runes, et autres motifs ajoutent à son charme tout particulier. Et toujours, ce léger sourire flou sur ses lèvres.


Histoire • Tout conte a un début et une fin
Il était une fois – car tous les contes se doivent de commencer ainsi – une cane, dont l’un des œufs était plus gros, plus gris, que tous les autres. « Un œuf de dinde, certainement », disait l’une des vieilles canes qui « avait eu toutes les peines du monde à le faire éclore, et encore plus à le faire nager ». Nul ne s’interrogea jamais sur la présence de cet œuf. Et pourtant, on aurait pu faire couler beaucoup d’encre sur ce sujet brûlant – avait-il était abandonné dans le nid, ou toujours présent ? Mais alors, que dire de la mère ? Car après tout, l’œuf y était. Et puisque l’œuf y était, alors soit, il fut couvé. Et tout comme l’œuf était plus gros, plus gris que tous les autres, le caneton qui en sortit était plus gros, plus gris que tous les autres. Il fut même le dernier à percer sa coquille, alors que tous ses frères piaillaient déjà d’impatience de plonger dans la mare.

Et ce n’était certainement pas un dindon, à voir la joie qui le faisait piaffer lorsque ses pattes palmées barbotèrent dans l’eau. Et alors que tout avait si bien commencé – ou presque – pour le caneton, pourtant plus gris, plus gros – et tellement plus laid ! – que tous les autres, il dut affronter le monde. Et le monde fut bien cruel envers lui. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que le caneton si gros, si gris, si laid, soit mordu, pincé, chassé de tous les côtés. Même ses sœurs, même sa mère, s’y mirent à le rejeter. Et, s’en allant loin de chez lui, blessé au plus profond de son âme, il fit halte dans une chaumière, où un chat et une poule y tenait lieu de maîtres de la moitié du monde – « la meilleure moitié du monde ». Et puisqu’il n’était pas capable de filer le rouet, ni de pondre des œufs, il n’y avait pas sa place non plus. La fin du conte voulut qu’après tout un automne et tout un hiver de souffrances – dont il était bien inutile de faire la liste – le vilain caneton, si gris, si gros, si laid, devienne enfin un magnifique cygne. Certainement le plus beau de tous. Et ses compères lissèrent ses plumes, l’accueillir à grand éclat de voix, et les enfants qui le virent poussèrent des « oh ! » d’admiration. Et pour la première fois de sa triste vie, il goûta au bonheur. Et le conte s’arrêta là.

Pourtant, le cygne vécut. Et il vécut enfin des jours heureux. Entourés de cygnes, tous comme lui, tous blanc, tous magnifiques. Bien sûr, certains avaient leur personnalité, certains étaient plus arrogants que d’autres. Jamais le vilain petit canard ne le devint. Il n’était pas de ce genre-là. Et il n’eut pas non plus le temps de le devenir. Car lorsque la saison de la chasse fut ouverte, de vieux souvenirs se ravivèrent. Paniquant, battant des ailes furieusement, il s’enfuit dans les roseaux. Nul ne sut jamais si la balle qui le faucha lui était destinée, mais toujours fut-il que la mare se teinta de rouge. Et le vilain petit canard poussa son dernier soupir.

Et une nouvelle vie commença pour lui, aussitôt. De cygne, il était devenu homme, dans un monde qui lui était inconnu. Ses pattes palmées étaient devenues des jambes pourvues de pieds. Ses ailes étaient devenues des bras et des mains aux longs doigts fins. Et son bec, des lèvres délicieuses à croquer. Et quelle ne fut pas sa surprise de rencontrer d’autres personnages de contes – il s’était bien douté, lorsqu’il était devenu homme, qu’il n’était pas le seul à qui cela était arrivé. Mais comment aurait-il seulement pu imaginer qu’autant de contes existaient, qu’autant d’auteurs avaient écrits autant de lignes ? Ce n’était pas une chose à laquelle on pensait, lorsqu’on n’était qu’un vilain petit canard, lorsque son monde ne se résumait qu’à une mare et ses environs.

Il lui fallut un certain temps d’adaptation, à son propre corps tout d’abord, à l’univers qui l’entourait ensuite. Tout ne se fit pas sans heurt, mais l’aide d’un ami qu’il se fit lui fut précieuse. Il fut une sorte de mentor. Den – car c’est ainsi qu’il se faisait appeler, sans renier son conte ni chercher une quelconque autre appellation – apprivoisa donc son environnement, son corps et se découvrit une passion – et un talent – pour l’art, tout particulièrement le dessin. Une chose le fascina plus encore, cette encre qu’on pouvait s’injecter sous la peau, pour y graver à jamais ses sentiments. Et il décida que, dans ce monde étrange qui était désormais le sien, il ferait des autres ses toiles. Des toiles qu’il voulait rendre magnifique. Des petits canetons – mais pas vilain, car seul la beauté de l’âme lui importait – qu’il transformerait en cygnes magnifiques.




Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Elodie. J'ai 23 ans et je rp depuis 10 ans. J'ai trouvé le forum grâce à Watson et je trouve que sa déchire le slip kangourou de sa mamie Ginette. J'aimerais rajouter que Utaaaaaaa ♥.


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