Une petite cabane dans un arbre, au début de la forêt. Bien que construite de bric et de broc elle semble solide. La porte d'entrée est très basse, obligeant quiconque voulant rentrer à se mettre à quatre pattes. Il n'y a qu'un amas de couvertures à l'intérieur et de vêtements, en plus d'une table de nuits et de babioles qui grignotent le reste de la place.

Ancienne petite usine de textile, le « territoire » de Loup s’apparente davantage à un repère de sans abri. Le lieu est meublé par divers objets de récupérations, souvent trouvés dans la rue, à la décharge, ou tout simplement sur place. La salle des employés est devenue la cuisine, et les vestiaires la salle de bain. Fort heureusement pour Bleiz, l’électricité et l’eau courante semblent avoir été laissées pour tel. Mais ça ne l’empêche pas de devoir se chauffer avec les moyens du bord et de devoir reboucher les trous dans la toiture avec ce qu’il trouve. L’ordre et l’organisation de Loup semblent pourtant en avoir fait un endroit décent où vivre, sans avoir à ne payer aucun loyer.

Son petit cocon est très simple, les fournitures sont toutes d'allure ancienne qu'il a dénicher chez des antiquaires. Le style ancien, c'est son dada. Une cuisine équipé -les seules choses modernes sont dans cette pièce-. Un salon-salle à manger dont le parquet est recouvert d'un grand tapis. Une salle de bain et un toilette. Une chambre également bien entendu pour lui.